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Découvrir le secteur de la grande distribution

Qui sommes nous ?
Plus de 680 000 salariés travaillent dans les 20 057 entreprises ou établissement du secteur du commerce de détail et de gros à prédominance alimentaire

Chaque jour ce sont 10 millions de clients en moyenne qui entrent dans nos magasins, partout en France.

Au sein des enseignes de la grande distribution, 59 % des salariés sont des femmes, 30 % ont moins de 30 ans et 90 % sont en CDI. Le secteur prévoit de recruter plus de 165 000 personnes, parmi les 100 métiers qui le composent. De nombreuses autres statistiques sur l’emploi dans le secteur sont à découvrir grâce à l’outil Horizon Emploi.

Le secteur de la grande distribution propose des métiers variés, partout en France, notamment pour répondre aux enjeux actuels que sont le service et l’accueil du client, la numérisation, ainsi que les enjeux environnementaux. L’ascenseur social, caractéristique historique de notre secteur, est une véritable réalité au sein des entreprises.

Toutes les tendances du marché du travail dans le secteur du commerce et de la distribution sont disponibles en un seul clic
Les formats de distribution
Les hypermarchés : ils possèdent une surface de vente en libre-service entre 2 500 et 20 000 m2, et un assortiment comptant de 25 000 à 40 000 références, dont 3 000 à 5 000 références de produits alimentaires et 20 000 à 35 000 références de produits non-alimentaire. Ils réalisent plus des deux-tiers du chiffre d’affaires en alimentation générale.
Les supermarchés : ils possèdent une surface de vente en libre-service entre 400 et 2 500 m2, et un assortiment comptant de 3 000 à 5 000 références, dont 500 à 1 500 références de produits non alimentaires. Plus des deux-tiers du chiffre d’affaires sont réalisés en alimentation générale.
Les supermarchés à dominante marques propres (ex maxi discomptes) : ils possèdent une surface de vente en libre-service entre 300 et 2 500 m2. Ils ont un assortiment réduit : moins de 2 000 références en moyenne.
Les supérettes : magasins de détail non spécialisés à prédominance alimentaire, elles possèdent une surface de vente comprise entre 120 et 400 m².
Le commerce de gros (grossistes, dont le cash and carry) : ils possèdent une surface de vente en libre-service entre 400 et 2 500 m2, et un assortiment comptant de 3 000 à 5 000 références, dont 500 à 1 500 références de produits non alimentaires. Plus des deux-tiers du chiffre d’affaires sont réalisés en alimentation générale.
Les entrepôts de logistique

Les sièges sociaux et les centrales d’achat

Le drive





Une présence vitale dans les territoires

En France, près de 11 000 communes sont pourvues d’au moins un magasin alimentaire généraliste. Il s’agit ainsi d’un des secteurs les mieux représentés dans les communes. Cette présence de commerces alimentaires est bien souvent vitale, en particulier dans les petites communes. 4 000 commerces alimentaires généralistes sont implantés dans des communes de moins de 1 000 habitants.





Les principaux facteurs d’évolutions

La branche du commerce de détail et de gros à prédominance alimentaire a, de tout temps, été confrontée aux évolutions de la société. Depuis de nombreuses années, elle poursuit son adaptation.

Les évolutions sociétales, entraînent notamment un besoin accru de proximité géographique et humaine, ainsi qu’une évolution de la relation client qui place le consommateur au cœur des stratégies de vente. Les enseignes communiquent davantage sur leurs atouts et les actions qu’elles mettent en place auprès des consommateurs, via de multiples canaux de communication. De nouveaux enjeux se présentent avec le développement du e-commerce.

Ces évolutions font également apparaitre de nouveaux profils de consommateurs qui sont à la recherche de praticité, et sont sensibles à la santé, la qualité et l’origine des produits. Les consommateurs s’intéressent davantage à la provenance, la composition et au mode de production des produits, par souci écologique et environnemental. Ils souhaitent consommer mieux tout en restant soucieux du prix.

Les évolutions technologiques bousculent les fonctionnements des entreprises et entrainent des phénomènes d’automatisation et de robotisation. La digitalisation permet aux enseignes du secteur de proposer une offre plus large, et ainsi de développer leurs ventes via le e-commerce et le m-commerce.

Les consommateurs deviennent ultra-connectés, ils ont accès à de multiples informations sur les caractéristiques des produits.
Les évolutions technologiques entrainent également une transformation de l’environnement de travail des salariés de la grande distribution. La montée en compétences est un enjeu majeur des entreprises et des salariés. Certains métiers sont en tension, c’est-à-dire que les entreprises ont des difficultés à trouver suffisamment de candidats pour répondre à leurs besoins en recrutement. C’est le cas des métiers d’encadrement ainsi que des métiers de bouche (boucherie, poissonnerie, boulangerie). Les enseignes sont soucieuses de faire connaître et de valoriser ces métiers en transformation afin d’attirer des jeunes en quête d’un métier porteur.

Ces métiers sont souvent recherchés sur le marché. Il devient clé de former les managers à l’accompagnement des évolutions et des changements impactant le secteur d’activité.

Les métiers de la logistique sont également de plus en plus recherchés au sein du secteur. Enfin, les demandes pour les métiers du digital tels que les développeurs informatiques, la maintenance des services e-commerce, l’analyse de consommation et actions promotionnelle ainsi que les métiers du drive (services accolés au magasin et préparateurs de commandes) sont en croissance.


Pour aller plus loin
Découvrez l’étude prospective sur le secteur du commerce et de la distribution et ses évolutions :
Consultez toutes les données sur l’alternance dans la branche : Bilan alternance de la branche 2021
En 2021, 38 847 nouveaux contrats ont été signés dans les entreprises de la branche du commerce de détail et de gros à prédominance alimentaire, dont 26 769 alternants en contrats d’apprentissage et 12 078 alternants en contrat de professionnalisation

Au total, plus de 58 500 alternants étaient présents dans les entreprises de la branche en 2021.